Les nouveaux chiens de garde, le film

  Film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, 1h44 Synopsis : En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi.Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, … Lire la suite…

Les mots glissants – Le détournement du sens des mots par l’idéologie dominante.

« On ne se méfie jamais assez des mots », écrivait Céline à la fin du Voyage au bout de la nuit. Le dossier « Les mots piégés » du n° 24 de la Revue du projet (février 2013) nous invitait déjà à « lessiver » les mots, selon la formule de Brecht, pour retrouver leurs sens véritables. Nous poursuivons cet essai d’éducation populaire en nous attaquant aussi aux expressions glissantes et à quelques autres tromperies. Le dossier de “La revue du projet” n°48 de Juin … Lire la suite…

Florilège de la pensée unique

Lu sur regards.fr. Pour démystifier le bréviaire des “réformes nécessaires” et de la “réalité” qui exige des “efforts de tous” (sauf de ceux qui les prônent). Cet assemblage d’interviews montre l’idiote et grotesque répétitivité. Il faut convaincre “qu’il n’y a pas d’alternative”, d’où le matraquage. Six chapitres –>    1 – réformes, 2- réalités, 3 – modernité, 4 – efforts, 5 – rigidité # liberté, 6 – augmenter le temps de travail. Le langage commun de tous nos libéraux. Le langage … Lire la suite…

La fille Le Pen normalise le discours FN en dévoyant les mots de la “gauche”

Lien vers l’interview de Cécile Alduy, coauteur du livre “Marine Le Pen prise aux mots” Le point de vue de Jean-Pierre Darroussin, acteur :  Question de l’Huma Dimanche : En 1997, dans “Marius et Jeannette”, vous campiez le rôle de Dédé, ouvrier électeur FN. Comment expliquez-vous la percée du FN ? J-P Darroussin : Le FN progresse depuis 1983. Tout est dit. C’est le résultat d’un abandon et d’une gauche qui n’est plus la gauche. Il devient difficile pour les travailleurs … Lire la suite…