Jean Quétier, philosophe : « Les partis font avancer l’intelligence collective »

Jean Quétier, philosophe : « Les partis font avancer l’intelligence collective » Dans son ouvrage, De l’utilité du parti politique, le docteur en philosophie de l’université de Strasbourg considère « à rebours du récit qui la voudrait dépassée » cette forme d’organisation comme un atout, notamment pour les travailleurs et les travailleuses. Publié le 27 avril 2024 Dans L’Humanité des débats (parution tous les vendredi) Diego Chauvet Jean Quétier à l’université d’été du PCF à Aix-en-Provence, en 2021. © Julien Jaulin/hanslucas Dépassés les partis politiques ? Au … Lire la suite…

Le populisme, une impasse. Revenons au vrai combat, celui contre le capitalisme !

Un très bon article de David Cyala (cliquer ici) Le populisme de gauche a t’il encore un avenir ? David Cyala est universitaire, économiste, membre des “économistes atterrés”. Extrait : “En fait, le populisme renforce systématiquement une vision du monde qui est spécifique à la droite. En dessinant un monde anomique dans lequel les individus seraient livrés à eux-mêmes, il légitime les conceptions réactionnaires qui entendent réunir le peuple sous des institutions transcendantes fondées sur la religion, les identités culturelles ou … Lire la suite…

Critique du populisme de gauche. Le piège.

Des dirigeants de plusieurs partis de la « gauche radicale », notamment en Europe, se réclament d’un « populisme de gauche ». C’est le cas de dirigeants de Podemos, en Espagne, mais aussi de dirigeants de la France insoumise. Parmi les intellectuels qui ont tenté de donner un fondement théorique au « populisme de gauche », Ernesto Laclau et Chantal Mouffe occupent une place centrale. Ci-dessous de larges extraits d’un article publié par  Lucha de clases, section espagnole de la Tendance Marxiste Internationale. Il s’agit d’une analyse … Lire la suite…

Populisme de gauche : l’impasse ?

L’intention de cette note n’est pas de proposer une analyse du/des populisme(s). Un phénomène mondial réémergeant fortement depuis la crise de 2008 prenant appui sur les frustrations des couches moyennes et populaires. Un phénomène nationaliste, voire identitaire, autoritaire et xénophobe porté par l’extrême droite et une partie de la droite. Et dont les traits marquants sont la référence au peuple, opposé aux « élites », la tentation de passer par- dessus les corps intermédiaires, la mise en cause des pouvoirs judiciaires … Lire la suite…