Débat sur la réforme des retraites et sur le budget 2025..

Cet article sera complété au fil des débats de ce début 2025

Le 17 janvier 2025 François Bayrou ouvrait so « conclave » sur la réforme des retraites :
Concertation sur les retraites : l’intervention de Sophie Binet devant le 1er ministre

La manière dont François Bayrou présente le déficit du système des retraites est fantaisiste selon Michaël Zemmour

https://www.alternatives-economiques.fr/michael-zemmour-maniere-de-francois-bayrou-de-presenter-defici/00113736

Ian Brossat : Les Français n’ont jamais accepté cette réforme

Intervention de Cécile Cukierman au Sénat devant François Bayrou :

 

Retraites. Ce que ne dira pas la Cour des comptes par Jean Christophe Le Duigou

Le dessin de Nono il y a 2 ans reste hélas d’actualité..

***  BUDGET  ***

Dans un budget il y a les dépenses et les recettes. Curieux, on ne nous parle que de diminuer les dépenses..

La dette publique est « la tarte à la crème » pour justifier l’austérité.

Quelques arguments :
L’article complet en PDF

Voir aussi sur la dette mon article précédent


Budget 2025. Pour l’AMF (Association des maires de France) l’austérité pour les communes est une erreur srtatégique !


L’indécence des grands patrons

L’offensive est coordonnée mais elle n’a rien d’originale. Son but ? Peser sur le conclave où sont réunis encore aujourd’hui députés et sénateurs pour tenter de rendre une copie commune sur le budget. Bernard Arnault en tête, les grands patrons se relaient ces derniers jours pour porter l’estocade contre un prétendu « matraquage fiscale » à grand renfort de chantage à l’emploi. Le tout en revendiquant un modèle qui a de quoi faire frémir : Donald Trump.

Au cœur du courroux patronal : la surtaxe pour les entreprises réalisant plus de 3 milliards de chiffre d’affaires qui devrait rapporter 8 milliards supplémentaires. Une paille au regard des près 100 milliards d’euros distribués sur l’année écoulée par les plus grandes entreprises du pays (celle du CAC 40) à leurs actionnaires. Mais déjà tellement trop pour l’homme le plus riche de France et ses acolytes. Tout comme la contribution différentielle sur les hauts revenus à 2 milliards d’euros. Qu’ils se rassurent, les porte-voix de l’exécutif au parlement ont entendu le message et ont limité l’obole à une seule petite année. Le patron de LVMH et sa fortune équivalente à plusieurs millions d’années au salaire moyen peuvent dormir tranquille.

Julia Hamlaoui, cheffe de service de L’Humatinale le 30/01/25
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Le « et de droite et de gauche », revendiqué par Emmanuel Macron, a tout de l’arnaque. Le président l’a de longue date démontré. Le mantra est pourtant repris encore et encore, dans l’espoir de vendre l’idée que la voie du « centre » est la seule raisonnable, au-delà des postures. C’est à nouveau – plus de 7 ans après l’arrivée au pouvoir de la Macronie – le coup que tente de jouer l’actuel premier ministre François Bayrou. Un jeu auquel il s’est d’ailleurs toujours prêté. Mais le locataire de Matignon et son gouvernement le prouvent encore une fois : dans cette équipe-là, les milieux jouent à droite.

Dernier exemple en date ? Le retour des 7 heures de travail supplémentaire et gratuit (!) que l’exécutif songe à imposer aux salariés pour remplir les caisses de l’État en lieu et place de taxer à la hauteur des besoins les grandes fortunes et les entreprises qui ont distribué près de 100 milliards d’euros à leurs actionnaires sur l’année écoulée. Le centre « souhaite transcender les clivages mais il conduit en réalité une politique au service des plus riches et du capital », résume le chef de file des députés communistes André Chassaigne. La gauche n’en espère pas moins s’emparer de la balle et marqué des buts à gauche au cours de l’examen du budget.

Julia Hamlaoui, 
cheffe de service de L’Humatinale


Après les 80,2 milliards d’euros versés aux actionnaires en 2022 et les 97,1 milliards en 2023, les quarante plus grands groupes français ont versé 98,2 milliards d’euros à leurs actionnaires en 2024 ! Alors que la crise inflationniste a mis à mal le monde du travail en réduisant le pouvoir d’achat et en dégradant les conditions de vie des travailleurs et des travailleuses, ces résultats mettent en évidence les inégalités criantes qui traversent la société française, et appellent à une meilleure répartition de la richesse produite.  (cliquer pour lire)
 
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et tout cela avec des cotisations très minimes

DE l’argent il y en a ! Un seul exemple :

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