Cela suffit le refrain des 44 milliards !

Ils disent :

  • Il faut économiser 44 milliards d’euros sur les dépenses publiques.
  • La dette nous impose cette rigueur.
  • La France est en danger de sanctions.

Cela suffit ces salades répétées à longueur de journées par les dirigeants au service de la finance et relayées par leurs chiens et chiennes de garde dans les médias.

Non la solution n’est pas l’austérité.

Non la dette n’est pas catastrophique et est un prétexte usé.
De plus ce sont eux qui ont creusé cette dette avec leur politique.

Non les dépenses publiques il ne faut pas les rogner, il faut au contraire les augmenter pour la santé, pour l’école, pour  le social, pour la transition écologique.

Et pour cela il faut changer radicalement de politique.

Il faut  prendre l’argent là où il coule à flot et cesser les cadeaux faramineux jetés par la fenêtre.

Un seul exemple :

211 milliards par an distribués aux grandes entreprises sans contrôle et sans contreparties.

un seul exemple sur les 211 milliards, il y en a d’autres comme le cas de Michelin..

Et on voudrait nous voler 44 milliards !

Voila où passent nos milliards.. Ce n’est pas aux contribuables de payer des dividendes aux actionnaires.

Ceci n’est qu’un exemple, bien d’autres mesures sont possibles et souhaitables pour changer de cap et rétablir  la situation.
On sait où prendre de l’argent, mais cela ne suffit pas, il faut aussi réorienter l’économie en investissant pour l’avenir
A gauche il y a des proposions qui de plus permettraient de relancer l’économie du pays et de répondre aux besoins sociaux, c’est un tout.

Revoir ici

Sur la dette

Sur un projet

Sur l’urgence sociale

et un article sur l’exemple de l’Espagne qui a un gouvernement de gauche

cet article en pdf


 

Voir aussi dans le Monde Diplomatique de Septembre 2025 cet article :

Austérité, le festin des actionnaires

Un président de la République marginalisé, un premier ministre sur le départ, une population excédée. Le pouvoir français va-t-il s’accrocher à son plan d’austérité consistant à rançonner salariés, retraités et malades pour financer l’armée et rétablir les comptes ? Et l’État continuera-t-il d’alimenter à fonds perdu les profits des grandes entreprises ?